A l’origine, c’est un concept circulaire en soi entre l’entreprise qui a conscience de son rôle sociétale, environnementale et économique qui n’est rendue possible que si les “personnes” de cette entreprise ont la volonté d’avoir un impact sur leur environnement au sens large. L’entreprise faisant partie de l’économie globale, elle est un canalisateur de nos actions sans quoi nous nous perdrions dans une dépense d’énergie multidirectionnelle.
L’entreprise, quelle que soit sa forme juridique ou organisationnelle est donc une nécessité pour amplifier l’impact d’une innovation responsable sur le marché économique dans sa globalité…et ce qui est global, aura un impact fort sur la planète et la société donc pour tous.
La première sera une prise de conscience de vouloir changer ses comportements pour améliorer “quelque chose”, pour soi d’abord et pour l’ensemble de la société ensuite.
La deuxième clé sera la motivation pour passer à l’action.
Et la troisième sera la persévérance pour ne pas abandonner son implication dans le projet car rien n’est plus lassant que de ne pas le voir pris en considération.
La bonne compétence, au bon moment, au bon endroit, à un coût équilibré !
Les enjeux auxquels doivent faire face les PME/PMI sont de plus en plus complexes et quelque soit l'entreprise, sa taille ou son activité, une seule obligation est incontournable : celle de réaliser un résultat positif ou à l’équilibre au minimum et régulièrement sous peine de disparaître à terme si elle ne le réalise pas…et c’est vrai aussi pour les start-up.
Pour y parvenir, elles sont condamnées à innover. Sans innovation, elles seront dépassées par leur environnement concurrentiel...tôt ou tard. C’est inévitable.
Les grandes entreprises structurées ont été inventives dans des domaines surtout industriels avec des concepts comme KANBAN, KAIZEN, POKA YOKE, 6 SIGMA, LEAN MANUFACTURING,...ou dans les bureaux avec le 5S BUREAU ou le LEAN OFFICE. Ces concepts sont plutôt des innovations techniques ou technologiques avec une vocation de performance économique ayant comme fil conducteur le gain de temps ! On les voit comme des outils à mettre en place. Mais il existe aussi des innovations managériales dites “d’usages” comme “la Direction en Temps Partagé” qui répondent à des enjeux de flexibilité organisationnelle, d’acquisition de talent, de management à la carte et de savoir-faire que l’entreprise ne pourrait peut-être pas s’offrir.
La réponse consiste, pour un freelance, à partager son expérience d’expert, de façon opérationnelle, entre plusieurs entreprises. Ce n’est plus du consulting, c’est un véritable accompagnement impliqué où le Directeur en temps partagé sera aux commandes opérationnelles pour atteindre les objectifs fixés avec la direction générale.
Il ne fait pas partie du "payroll" de l’entreprise, ne relève pas du code du travail mais du code du commerce, et n’a plus de lien de subordination avec le dirigeant. C’est une collaboration d’une entreprise “dans” une autre.
La visibilité court terme des marchés, les crises à répétition qui rendent frileuses les décisions, les coûts d’embauches des compétences d’expert, les difficultés à adapter sa gestion Humaine à son marché (entendez par là les difficultés d’embauche mais de licenciement aussi), ses résultats opérationnels à tenir, la pression financière du système, la séniorité qui rime trop souvent avec “trop vieux” !!... Tous ces freins empêchent les dirigeants de PME PMI de se structurer pour avancer et se développer.
Pour le dirigeant lui-même, son réel challenge sera de retrouver du temps pour pratiquer son premier métier, celui de diriger. Ce concept managérial lui permettra de trouver des profils économiquement équitables sur lesquels il pourra s’appuyer pour prendre des décisions stratégiques, être challengé par des idées, des solutions, des attitudes, du savoir-faire pour animer les équipes, et ainsi s’entourer d’un CODIR opérationnel.
"Pourquoi la Direction en temps partagé est une innovation responsable".
Parce que face à ces dirigeants, se trouvent des “conseils indépendants” de plus en plus nombreux, souvent séniors, très compétents, mais qui ont malheureusement des difficultés à vendre leurs compétences parce qu’ils n’ont pas forcément les bons réflexes d’être entrepreneurs et agissent comme des personnes en recherche d’emploi. Ils sont aussi victimes de leur business model, à la journée ou la demi journée qui est trop souvent mis en concurrence.
Recroisé avec un marché du travail de plus en plus tendu pour les séniors, des stratégies de relocalisation vers une main d'œuvre moins chère, une perspective de développement économique au ralenti, une compétition des prix toujours tirée vers le bas, une inflation galopante, une omerta sur l’âge… On pourrait penser que nous sommes au bout du système.
quel que soit son domaine d’expertise, partager son savoir-faire, redonner du sens à sa carrière, appliquer un nouveau modèle de collaboration innovant où le temps n’est plus compté, avoir une offre économiquement équitable, participer au développement de plusieurs PME/PMI en même temps, ne plus être dans une routine, ne plus être dans un lien de subordination pour libérer sa créativité, etc…
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